Un paradis sous cloche - extrait
76 sa fenêtre. La nuit commençait à tomber mais elle put distinguer une nuée d’oiseaux affolés, entendre le croassement des corbeaux, les miaulements des chats, les aboiements des chiens…On eût dit que les animaux devenaient fous. Effrayée, elle referma aussitôt et, rejoignant sa cabane, elle se replongea dans son journal où, d’une main tremblante, elle écrivit : Aujourd’hui, dimanche 7 mars, j’ai peur !
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